Après un ou deux coups de tonnerre provenant des montagnes, il pleut maintenant à Dahab ! La nature est plus belle que jamais. Assise à une terrasse, les pieds dans le sable, laissant les gouttes me tomber dessus, j’entends des chevaux arriver au triple galop. C’est mon ami Robea ! Au moment où il pénètre dans mon champs de vision, il pousse un puissant cri de guerre et lâche les rênes de sa monture. Sur son visage rayonne un sourire que je ne lui avais encore jamais vu. La pluie a libéré l’homme qui, lui-même, a libéré l’animal.